divers

Article paru dans le journal communal de nos amis de La Ville aux Dames

Jean a trouvé un petit coin de France tranquille avec des routes ne manquant pas d’intérêt pour les grimpeurs et des points de vue superbes.

Pour ceux qui aiment les gorges profondes, les reliefs intéressants faites un saut en Lozère vous ne le regretterez pas.

Merci pour les photos.

A voir

Les élus américains ont la même obsession que nos élus, trouver de l’argent à tous prix sans aucun sens du ridicule.

Le CO2 est un gaz qui influe très peu sur l’effet de serre, il est un gaz non toxique, le CO2n’a jamais tué personne, et de plus sans CO2 il n’y aurait pas de vie sur terre ou très différente de ce qu’elle est.

Voir la proposition de cet élu Américain.

Col du Toullaëron

 Jean a découvert une superbe étude du col du Toullaëron que nous avions escaladé pour assister au passage du tour de France en 2008.

Description du col: 

Merci à Daniel Gobert pour cette description particulièrement bien faite.

Daniel GOBERT l’ogre des cols, un palmarès exceptionnel, plus de 525 cols de 22 pays différents dans les jambes. 

Palmarès de Daniel Gobert: 

Daniel Gobert

Pour tous ceux qui aiment le beau matériel la revue LE CYCLE publie dans son numéro de Mars le guide des vélos des Pros. Matériel superbe pour gros portefeuille.

Il était depuis plusieurs années déjà le doyen des coureurs ayant participé au Tour de France. Le Breton Pierre Cogan est mort dans la nuit de vendredi à samedi 5 Janvier dans sa ville d’Auray (Morbihan). Il allait avoir 99 ans le 10 janvier prochain.

Pierre Cogan avait disputé sept Tours de France, dont deux avant-guerre. Coureur complet, il avait terminé 11e de son premier Tour de France, en 1935, est s’était classé premier de la catégorie des touristes-routiers, autrement dit les concurrents individuels. Intégré ensuite en équipe de France, ses meilleures années furent cependant gâchées par la guerre, ce qui ne l’empêcha pas de revenir dans le Tour qu’il courut jusqu’en 1951 après avoir obtenu sa meilleure place en 1950 (7e).

Il fut l’un des meilleurs routiers bretons de cette époque, et rendit une ultime visite au Tour de France lorsqu’une étape prit le départ d’Auray en 2008. Désormais, c’est Albert Bourlon, 96 ans, qui devient le doyen des coureurs du Tour.

* Cet illustre doyen donne une image pleine de santé au cyclisme. Invité d’honneur du dernier Grand Prix de Plouay (course qu’il remporta en 1936 ! ), sa grande forme et son sourire pétillant en ont impressionné plus d’un…

Une notoriété gigantesque

Si Pierre Cogan est un champion d’une autre époque, sa renommée a été bien plus importante que n’importe quel coureur cycliste breton d’aujourd’hui. Pierre Cogan était l’un des coureurs français les plus populaires, à une époque où le cyclisme était, de très loin, le sport le plus médiatisé et le plus suivi par le grand public. Autrement dit, les Guesdon et autres Le Mével

font figure d’anonymes si on compare leur taux de notoriété actuel à celui de Pierre Cogan en son temps…

Un futur vainqueur du Tour

N’importe quel petit Français des années 1930 savait qui était Pierre Cogan, le beau gosse de l’équipe de France 1936. Celui qui, disait-on, remportera bientôt le Tour de France. Hélas, le service militaire (en 1938 et 1939) puis la seconde guerre mondiale gâchèrent presque toute la carrière du sympathique Pierre. Grand espoir de l’équipe de France du Tour 1936, il dût attendre 1947 avant de disputer à nouveau la Grande Boucle… « Sans ça, j’aurais sans doute pu remporter un Tour de France. Je tenais une forme incroyable et étais capable de battre tout le monde en montagne et au contre-la-montre. J’étais au niveau des Bartali ou Maes, ils marchaient fort, mais j’étais aussi bien qu’eux… » regrette encore l’Alréen.

Vainqueur du Grand Prix des Nations

Pierre Cogan s’est toutefois forgé un solide palmarès. Sa plus belle perle étant ce Grand Prix des Nations 1937 (le championnat du monde du contre-la-montre de l’époque) remporté sur 140 km devant l’ensemble des meilleurs mondiaux. Pierre n’avait que 23 ans… « J’ai repris ma carrière après guerre, mais à 33 ans ce n’était plus la même chose. J’avais perdu mes plus belles années, même si je me classe encore 7e du Tour 1950 à 36 ans ».

Pierre Cogan est aussi le doyen des coureurs de l’équipe tricolore du Tour de France. Coureur doté d’une classe incroyable, Pierre Cogan est un très noble doyen pour le cyclisme breton. Souhaitons lui, un Joyeux Anniversaire et une très belle année 2010 !

Contribution de Damien Chemillé

- Les Tours de France de Pierre Cogan. : 11e en 1935 à l’âge de 21 ans. 16e en 1936. 12e en 1947. 10e en 1949. 7e en 1950. 19e en 1951.

Il a aussi remporté le Grand Prix de Plouay 1936 et le Circuit de l’Aulne à Châteaulin en 1937 et 1938.      

ENTRETIEN DU CASQUE

Les principales parties à nettoyer sont :

• les lanières
• les mousses

La coque, elle, n’est pas en contact direct avec la tête. Un simple rinçage sous l’eau courante est généralement suffisant.

Pour un nettoyage en profondeur, je vous propose 2 méthodes :

Le lavage sous la douche : prenez votre casque avec vous et lavez les lanières et les mousses (détachez-les, c’est plus facile) avec un peu de shampoing (c’est plus doux que le savon)

Le trempage dans le lavabo : remplissez-le d’eau tiède et versez-y un peu de shampoing ou de lessive pour habits de sport, puis détachez et plongez-y les mousses, et finalement posez votre casque de manière à faire tremper les lanières pendant 1-2 heures. Pas besoin d’immerger votre casque complètement.

Astuce : avant de retirer les mousses, si elles ont un découpage aussi compliqué que sur les photos, prenez soin demémoriser leur position dans le casque, sous peine de voir leur remise en place se transformer en jeu de patience !! 

 Pour un petit nettoyage rapide, voici ce que je fais :

Après une sortie à vélo bien chaude, il m’arrive de rincer rapidement à l’eau tiède (sans produit) les lanières et les mousses, juste pour les débarrasser des résidus de sel. En effet, le sel durcit les lanières, qui finissent par irriter la peau, et il abîme les mousses.

 Comment sécher votre casque sans l’abîmer :

Laissez séchez votre casque à l’air libre. Vous pouvez simplement poser les mousses à plat sur un linge (comme sur la photo ci-dessus).

N’utilisez ni sèche-linge ni sèche-cheveux, c’est trop chaud ! Et en hiver, ne le posez pas non plus sur le radiateur, ça risque d’abîmer la structure et donc la résistance aux chocs.

Pour un séchage plus rapide des lanières et des mousses, vous pouvez les presser – délicatement, sans torsion – dans un linge de bain en les enroulant, pour en extraire un maximum d’eau. C’est généralement ce que je fais pour éviter que les lanières ne fassent « pipi » sur le sol…
 Dois-je laver mon casque après chaque sortie ?

Certains le préconisent, mais personnellement je ne trouve pas que ce soit indispensable. Ce sera plutôt votre nez (odeur…) et votre peau (frottements, irritations…) qui en décideront !

Quelle est la durée de vie de mon casque ?

Même si votre casque n’a subi aucun choc, il est préconisé d’en changer en moyenne tous les 3-4 ans.

>> Pourquoi ?

Tout simplement parce que le plastique – soumis au rayonnement solaire ou au froid, de même que les courroies et leur points d’attache finissent par s’affaiblir.

Les casques sont en principe munis d’une étiquette mentionnant l’année de fabrication :

Mais ce qui compte surtout c’est la date d’achat.

Je vous conseille donc soit de garder la facture, soit denoter la date de votre achat sur la fiche d’entretien de votre vélo, dont vous trouverez un exemple ici, si vous n’en avez pas encore créé une.

En revanche, pendant ces 3-4 ans, rien ne vous empêche (bien au contraire !) de remplacer les mousses quand elles sont trop usées, ainsi que le système de serrage à l’arrière s’il commence à ne plus tenir.

Astuce pour le remplacement des mousses : achetez-en un jeu de rechange en même temps que le casque. Cela vous évitera de ne plus en trouver le moment voulu, car le modèle aura disparu entretemps… 

Le Certificat Médical préalable à la pratique du sport

Le Certificat Médical de non contre-indication à la pratique du sport est une obligation définie par la Loi Buffet du 23 Mars 1999. Tout pratiquant sportif doit présenter, pour obtenir une licence, un certificat médical annuel de non contre-indication à la pratique sportive délivré par son médecin.  

Le sportif n’a pas le droit de pratiquer une compétition s’il ne possède pas ce certificat. Par ailleurs, la non présentation du certificat peut avoir des conséquences administratives avec par exemple la perte du match ou de la rencontre. D’autre part, il ne faut pas oublier qu’en cas de non présentation de ce certificat, la licence n’est pas valable et vous risquez donc de ne pas être assuré en cas d’accident ou en cas de responsabilité civile si par malheur vous blessiez quelqu’un lors de la pratique sportive.

Quel examen pour quelle pratique ?

Votre médecin traitant, mais également un médecin spécialiste ou un médecin du sport, peut vous délivrer un certificat médical après un bilan dont il jugera seul le contenu. Généralement, votre médecin profite de cet examen pour réévaluer la validité des vaccins, surveiller votre alimentation et parler de votre hygiène de vie.

L’examen médical doit prendre en compte votre niveau de pratique, votre temps de pratique et votre âge. Le médecin reste seul juge pour effectuer les examens nécessaires, voire demander éventuellement des renseignements complémentaires et des examens supplémentaires avant de vous accorder l’autorisation de pratiquer un sport.

+ Le certificat médical préalable de non contre-indication à la pratique du sport (Pdf).

Pour la plupart des sports, votre médecin traitant est habilité à vous délivrer ce certificat médical annuel de non contre-indication à la pratique du sport. Toutefois, pour la pratique de sports à risque, tels que la plongée sous-marine, le parachutisme, la boxe, l’aéronautique, seul un médecin habilité est autorisé à signer le certificat médical. Votre club pourra vous fournir la liste des médecins habilités ou à défaut, vous pouvez vous renseigner auprès des ligues ou des fédérations sportives concernées.

La validité du certificat médical est de 1 an, ou dans certains cas, valable pour la durée de la saison sportive. Le médecin peut également signer directement sur la licence, si celle-ci possède un endroit spécialement réservé où pourra être identifié le nom de votre médecin et son numéro d’inscription à l’Ordre des Médecins.

Attention : certains sports, comme le Tennis, le Judo, le vélo etc., exigent désormais que l’intitulé de non contre-indication à la pratique de la compétition figure très clairement sur le certificat. Une simple autorisation à la pratique du sport ne serait alors pas valable pour prendre part à ces compétitions.