Marie-Claude

Mercredi 24 janvier Trivandrum Varkala 45 km

Départ de Trivamdrum avec quelques piquets de grève au coin des rues, semble t’il en rapport avec le prix du carburant. Nous longeons la côte. La région du Kerala semble beaucoup plus riche, des maisons en dur et souvent colorées, plus de voitures et moins de motos. Se succèdent beaucoup d’église Chrétiennes très colorées également, de belles plages mais dangereuses. Le climat est chaud et humide, plus difficile à supporter (entre 24 et 32 degrés)

Jeudi 25 janvier Varkala Kayankulam 82 km

Varkala, un havre de paix, un endroit prisé par les occidentaux où nous avons pu apprécier le silence et la plage.

Notre lodge

Marie-Claude

Lundi 22 janvier Kanyakumari Poovar 74 km.

Avant de quitter le Cap et la région du Tamil nadu, lever ce matin à 6 h00 pour assister au lever du soleil comme beaucoup de touristes indiens présents ce jour. Malheureusement, les nuages étaient présents, nous ne le verrons pas. Nous quittons la région du Tamil Nadu et son relief plat pour rentrer dans la Kerala plus vallonné et montagneux. Les premiers raidillons sont là. Après avoir fait durant 15 jours 1000 km de plat avec globalement avec un vent porteur, cela surprend tout de même. Après un passage par la ville de Nagercoil, retour vers le bord de mer ( Plages de sable et villages de pêcheurs). Apres un temps de compréhension et de négociation car ils parlent le Tamoul, les locaux nous proposent ce midi de nous préparer les moules péchés du matin. Une jeune fille de la maison d’à côté parlant l’anglais est venu faire l’interprète. Ce fut une belle rencontre avec cette famille de pêcheurs.

Mardi 23 janvier Poovar Trivandrum 34 km

Départ de notre lodge où nous avons passé une nuit paisible, une des rares, sans musique de nuit et sans klaxons…Nous partons pour une petite étape afin d’atteindre la ville de Trivandrum, la capitale du Kerala. Plages de sable et village de pêcheurs s’enchaînent. En fin de journée, nous assistons par hasard au festival du temple à Trivandrum.

Marie-Claude

Samedi 20 Janvier thoothukudi Tisaiyanvillai 82 km

Une journée sous la chaleur à travers les petites routes de campagne, ou la population  travaille dans les champs de bananiers, les fabriques de briques de terre cuite et  les  rizières. Le contraste est étonnant entre la quiétude des campagnes et le bruit incessant des petites villes.

Dimanche 21 janvier Tysaiyanvillai kanyakumari (Cap comorin) 56 km

Si l’on avait suivi les conseils du guide du routard, on n’y serait pas allé. Pourtant cela valait le détour. Un bel itinéraire à travers palmeraies et bananiers et durant 25 km jusqu’au  cap Comorin un parc éolien immense qui ne gâche rien au paysage. Kanyakumari est la rencontre des 3 mers ou s’y baigner est considéré comme sacré. Des touristes indiens y viennent par car assister au lever ou au coucher du soleil.

Marie-Claude

Lundi 15 janvier Melur Madurai 30 km

Destination Madurai, la ville la plus sainte du Tamil nadu pour la visite du sri Menzski temple; le plus grand de l’Inde du Sud. Grandiose et magnifique, avec une enceinte carré, 4 portes et le bassin du lotus d’or pour les bains de purification. Les touristes indous sont présents en grand nombre,  bain de foule garanti.

Le bassin du temple

Mardi 16 janvier Madurai Paramakudi 80 km

Ce matin, lever 6h et départ 7h. Il fait très chaud depuis 2 jours, nous préférons donc anticiper notre départ et profiter d’une fraîcheur toute relative. Peu après Madurai, rencontre inopinée le long du parcours avec des reporters  télé intrigués de nous voir en voyage à vélo. Nous nous prêtons à leur jeu pour la réalisation d’un  petit reportage.  En début d’après midi, nous arrivons sur Paramakudi, une ville très colorée avec une vie foisonnante de petites échoppes derrière la rue principale.

Mercredi 17 janvier Paramakudi Rameswaram  en train 85 km

Nouvelle formule ce matin, nous testons les chemins de fer indiens. Tous les blog nous disent qu’il est impossible de prendre le train avec des vélos. Véronique, notre anglophone discute avec le chef de gare. Pas de souci, les formalités remplies, nous voyagerons pour 60 roupies chacun (à peine 1 €) compris les vélos chargés dans le wagon bagages encombrants. Agreable surprise, un indien venant de Madurai nous a reconnu et nous présente l’article  paru dans le journal local. Après deux heures de train, nous débarquons à Rameswaram, la presqu’île en face du Sri Lanka, 2 ème ville sainte de l’Inde, la petite sœur de Bénarès. Chaque indou souhaite y venir une fois dans sa vie, se purifier dans les 22 puits du temple et terminer sa purification dans la mer.

Jeudi 18 janvier Rameswaram Kilakkarai 66 km

Ce matin 8h00, nous quittons Rameswaram en enjambant le pont qui l’a relie au continent.  la flottille de pêche impressionnnante quitte le port. Nous cheminons à travers la campage. Nouvelle crevaison pour Jacky et a nouveau des rayons de cassés sur sa roue arrière.  Nous arriverons en début d’après midi a Killarai petite ville au bord de l’eau que la population semble t’il ne fréquente pas beaucoup.

Vendredi 19 janvier Kilakkarai thoothukudi 111 km

Depart ce matin à 6h30 car c’est une grande étape.  Tres rapidement la roue arrière de Jacky ne résiste pas, il va falloir trouver une solution pour réparer.  Il décide de prendre un touc touc jusqu’au village suivant. La réparation se fera en une heure, démontage de la cassette, changement de rayons et devoilage  de la roue; tout cela avec une grande efficacité. Nous poursuivons notre route plus sereins.  Nous approchons de Thoothukudi à travers des étendues de marais salants.

TRANSMISSION - CASSETTES ROUTE

COMMENT DÉTERMINER LE NIVEAU D'USURE D'UNE CASSETTE ?

Cette question revient assez souvent, mais malheureusement il n’y a pas de réponse miracle. En effet, les cassettes ne possèdent pas de témoin d’usure et la conception des dents, différente suivant les marques, rend difficile la possibilité de réaliser un outil pour contrôler l’usure.

Nous allons tout de même tenter de vous aider en faisant le tour des différentes méthodes pour juger de l’usure :

1. La première est aussi simple qu’évidente : les vitesses sont instables lorsque le matériel est trop usé. Si vous venez de remplacer votre chaîne et que le reste de votre transmission est en bon état, mais que les vitesses passent mal, alors pas de doute la cassette est à remplacer.

2. La deuxième nécessite d'avoir un peu l'œil. Observez la forme des dents d'une cassette neuve, vous verrez que presque toutes se terminent avec le bout plus ou moins biseauté. Si les dents de votre cassette sont usées au point de se terminer en pointe, c'est qu'il est plus que temps de la remplacer.

3. La troisième est une recommandation fabricant : toutes les deux chaînes, on remplace la cassette.

Marie-Claude

Vendredi 12 janvier Kumbakonan Tanjavur. 45 km

Nous poursuivons notre route par des routes secondaires au plus près des populations pour arriver en début d’après midi a Tanjavur et voir le temple Brihadishvara, l’un des plus grandiose dédié à Shiva, construit au 10 ème siècle et toujours en activité. Il est plus connu sous le nom de  » Big temple » nom donné par les anglais au moment de la colonisation.

Samedi  13 janvier Tanjavur Pudukkotai 65 km

La route commence à s’onduler, la végétation devient plus sèche mais l’accueil des populations ne change pas, ils sont toujours aussi chaleureux.

Dimanche 14 janvier Pudukkotai Melur 85 km

Aujourd’hui dimanche, nous quittons Pudukkotai au son de la musique Tamoul. Cest aujourd’hui en Inde du Sud, le Happy Pongal, la fête de la fin des moissons du riz avant la 2eme récolte qui dure quatre jours. Les vaches sont lavées puis décorées, les femmes dessinent le Kolam (dessin à la poudre de riz) devant leur porte d’entrée. Sur la place du village a lieu le lâcher de vaches par les jeunes hommes  et le riz cuit avec le sucre de canne (le Pongal) est partagé et servi sur une feuille de banane.

Photographies de la soirée

Maillot manches courtes et Longues

Cuissards courts et longs

Marie-Claude

Mercredi 10 janvier Pondicherry Parangippetai 85 km

Traversée en début de parcours de la grande ville de Gudalor par grande circulation, c’est vraiment le concert de klaxons à tout va en continu. Malgré la densité de véhicules, pas de problème de bouchons ici. Tout est fluide, les feux rouges sont pratiquement inexistants. Nous sortirons l’après midi de ce bruit étourdissant pour découvrir les villages de paysans au cœur des rizières, vraiment magnifique.

Françoise Annie Philippe

Jeudi 11 janvier Parrengipettai kumbakonam 85 km

On chemine à travers des routes secondaires au travers de villages et petites villes. Le relief est plat depuis le début de notre périple et la température se situe  entre 25 et 30 degrés. Les indiens sont très heureux de poser pour les photos, leurs sourires et petits signes de la main ponctuent notre avancée.

 

Marie-Claude

Lundi 8 janvier Mamalapuram Auroville 98 km

Nous quittons le magnifique village de pêcheurs. Aujourd’hui nous emprunterons principalement des routes à double sens et routes à 2 fois 2 voies au bord desquelles la vie s’organise. Marais salants, plantation de cocotiers et  rizières. Petites boutiques dans les villages, pas de souci pour se ravitailler en boissons et nourriture. À l’approche d’Auroville, Françoise casse son dérailleur dans la seule côte du parcours mais aussi à 500 m du vélociste local plutôt axé motos et mobylettes. Le remplacement du dérailleur se fera dans l’heure qui suit pour la somme de 900 roupies (13 euros) fourniture comprise

Le Vélociste d’Auroville

Petite ferme au bord de la route

Mardi 9 janvier Auroville Pondicherry 30 km

Nous avons flâne toute la journée sur Auroville, ville née des soixantuitards. Beaucoup d’occidentaux y vivent au plus près de leur ressenti et dans une certaine harmonie.

Pondichery ancien comptoir français des Indes orientales ou nous sommes abordés par des indiens parlant le français. Nous avons la surprise de rencontrer un français installé à pondichery, fils de Pierre Jourdan participant au Pékin Paris Londres. 

Ecolières