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Entretien sécurité: Warren Barguil

Publié le par VSPC

Très bon entretien de Warren Barguil sur:

La sécurité à vélo 

dans

 

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Trop enrhumé pour faire du vélo ?

Publié le par Vivons vélo

Excellent article paru dans "Vivons vélo"

 

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Pénurie de vélos

Publié le par Thomas SAMSON

TOUR DE FRANCE:

COMMENT LES ÉQUIPES FONT FACE À LA PÉNURIE DE "VÉLOS"

Le Tour de France 2022 sera la 109e édition du Tour de France cycliste.

Thomas SAMSON

La pénurie mondiale de composants de vélos contraint les équipes du Tour de France à s'organiser en vue de l'édition 2022. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, les équipes ont mis en place des mesures inédites.

La situation est inédite pour les équipes de la 109ᵉ édition du Tour de France. En plus d'un nouveau parcours qui démarrera le 1er juillet de Copenhague, arriver à bon port à Paris le 24 juillet sera un défi logistique. La pénurie mondiale de composants de vélos qui va se poursuivre encore de longs mois contraint en effet les équipes à s'organiser pour économiser pneus, roues, plaquettes et disques de freins, mais aussi les transmissions, câbles et capteurs de puissances.

"La situation est très compliquée et nous faisons comme nous le pouvons, non seulement pour être prêts pour l'épreuve, mais aussi pour les entraînements qui démarrent bientôt", explique à BFM Business Jérémy Roy, responsable des partenariats et développement technique de l'équipe Groupama-FDJ.

Pour le Tour, cette équipe se compose de huit coureurs qui doivent chacun disposer de quatre vélos, soit une quantité considérable de composants. Pour démarrer les entrainements, elle va garder les vélos de l'an dernier pour récupérer des pièces. Charge aux mécaniciens de sélectionner les composants réutilisables et de les remettre à neuf pour repartir pour un Tour.

"Habituellement, à la fin de la saison, les vélos sont vendus au public entre 2000 et 3000 euros. Cette année [le fabricant, ndlr] Lapierre nous a livré les cadres 2022, mais pour les entraînements, nous allons les équiper avec les composants que nous avons récupérés sur les vélos de 2021. C'est inhabituel, mais nous faisons comme on peut", confie Jérémy Roy. Habitué aux défis, cet ex-coureur professionnel a remporté le Prix de la Combativité sur le Tour de France 2011.

Faire durer les consommables

Quelles conséquences sur les performances des coureurs? "Aucune", affirme ce responsable en expliquant que sauf accident, la plupart des éléments ne sont pas changés pendant l'épreuve. Reste que pour les consommables, plaquettes et disques de frein, chaines, pneumatiques, roues et guidoline, les choses sont plus compliquées. Une fois usés, ils doivent être changé à la fois pour des raisons de performances mais aussi de sécurité.

"Nous allons faire durer certains éléments plus que d'habitude. Une chaine habituellement changée tous les 2000 kilomètres devra tenir 2500 ou 3000 kilomètres", prévoit déjà Groupama-FDJ.

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Cette situation affecte l'ensemble des équipes et certaines, comme Cofidis, sont moins bien loties que Groupama-FDJ. Elle n'a toujours pas reçu ses vélos, alors que les entraînements démarrent dans quelques semaines.

"Logiquement, ils doivent arriver fin novembre, on a une réunion la semaine prochaine pour voir si les délais seront respectés, a déclaré à FranceInfo Cédric Vasseur, manageur de l'équipe Cofidis. On a un stage prévu en décembre, et à partir de ce moment-là on a besoin des vélos 2022, donc le temps nous est déjà compté".

Pas de crainte, assure Shimano

Soumis à cette situation exceptionnelle, les équipementiers bataillent également comme ils peuvent pour fournir leurs clients. Shimano est le premier d'entre eux, suivi de Campagnolo et Sram. Pour les pneumatiques, les trois premières marques sont Vittoria, Continental et Pirelli, mais c'est encore Shimano qui fournit de nombreuses équipes en roues, comme Groupama-FDJ.

Mais les coureurs professionnels ne bénéficient d'aucun passe-droit, d'autant que les équipes sont soumises à la même enseigne que le grand public.

"Le règlement de l'Union Cycliste Internationale (UCI) nous impose d'utiliser des composants haut de gammes mais identiques à ceux que l'on trouve dans le commerce, nous avons donc le même traitement que le grand public", signale Jérémy Roy.

Shimano se veut rassurant sur les risques de pénuries des composants pour les équipes du Tour de France.

"Nous fournissons suffisamment de composants pour équiper les vélos des coureurs chez nos équipes sponsorisées", a déclaré à BFM Business une porte-parole de Shimano.

La marque confirme qu'il "n'y a pas de ligne de production dédiée aux produits de sponsoring", mais que "nous commandons toujours longtemps à l'avance (environ un an) pour soutenir les coureurs professionnels".

SUR LE MÊME SUJET

Quant aux performances des éléments récupérés sur les vélos de 2021, Shimano assure qu'ils "peuvent durer plus longtemps qu'une saison". Elle ajoute que les équipes disposeront "suffisamment de pièces d'usure (par exemple cassette, chaîne, plaquettes de frein, plateaux) pour une saison, ce qui permet d'augmenter la longévité des composants principaux".

 

 

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Tour de France 2022

Publié le par Jean-Pierre

Cliquez sur moi

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Respirez-vous bien ?

Publié le par Vélomag

Excellent article paru dans Vélomag

 

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Cyclo Tour des Flandres

Publié le par VSPC

Le 18 septembre 2021 Participation de Patrice Auvray à la rando "Tour des Flandres" 137km-1626m de dénivelé sans classement

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Le culte du corps

Publié le par VSPC

Un esprit sain dans un corps... musclé : les atouts inattendus des « tablettes de chocolat »

 

Le culte du corps bien sculpté, aux muscles saillants, est toujours d’actualité dans nos sociétés modernes et connectées. Mais cette recherche d’un esthétisme corporel « parfait » est-elle bonne pour la santé ? En fait, se limiter à l’aspect « tablette de chocolat », c’est oublier l’importance fondamentale, anatomiquement et métaboliquement parlant, du muscle pour notre santé.

Premier point, le muscle est omniprésent dans notre corps. Avec quelques 500 muscles, il s’agit même de notre organe le plus conséquent. La masse musculaire, ou masse maigre, correspond approximativement à 40 % de la masse totale du corps.

Second point, il multiplie les fonctions. Le muscle est déjà indispensable à tous nos mouvements, volontaires ou non : locomotion, respiration, battement cardiaque, digestion… Mais loin de n’être qu’un simple consommateur, il sert également à l’apport énergétique. En effet, lors de l’exercice physique par exemple, en plus de se contracter, le muscle permet de libérer du glucose afin d’assurer la poursuite d’un effort. La masse musculaire est donc en quelque sorte un réservoir énergétique et un régulateur métabolique.

Plus surprenant : lorsqu’ils sont sollicités (pour maintenir une posture particulière par exemple), les muscles dits « squelettiques » - autrement dit, autres que le muscle cardiaque - peuvent aussi libérer dans le sang des substances appelées myokines. Ces petites molécules ont notamment pour fonction de protéger le muscle à l’effort, en régulant le grossissement de ses fibres, sa vascularisation, etc. De plus, les myokines sont capables d’agir sur d’autres organes comme les os (augmentation de la minéralisation), le foie (régulation du métabolisme glucidique) ou le cerveau (baisse de la dépression et du stress).

C’est dire l’importance de cet organe et donc l’intérêt de le préserver.

Une masse musculaire qui diminue avec l’âge

Avec l’augmentation de l’espérance de vie, de plus en plus de personnes dépassent désormais les 70 ans. Or, la masse musculaire, de façon tout à fait naturelle, a tendance à diminuer avec les années (on parle de « sarcopénie »). Et qui dit fonte musculaire, dit performances physiques et capacité à l’effort qui s’amenuisent. Sur ce point, tout le monde n’a pas les mêmes atouts… ou, plus exactement, n’a pas les mêmes atouts toute sa vie durant.

L’évolution de la masse musculaire est due à deux processus qui se répondent : la synthèse, ou anabolisme protéique (c’est la « création du muscle ») et le catabolisme protéique (la « destruction du muscle »). Avec le temps, le second prend le pas sur la première, ce qui entraîne une perte moyenne de 30 % de la masse musculaire à 80 ans.

Réussir à limiter cette perte permet non seulement de préserver son autonomie et ses capacités motrices, mais est aussi un gage de bonne santé, comme l’a prouvé une étude menée pendant 18 ans sur plus de 8000 sujets. Ceux affichant une force plus faible avaient 50 % de risque en plus de mourir et présentaient une espérance de vie inférieure à celle des sujets avec une force plus importante.

Muscles et cognition, l’alliance oubliée

 

Mais le physique n’est pas tout. La perte de force musculaire peut également être associée à des déficits cognitifs : fonction visuospatiale, attention, langage, mémoire, etc. Il a été démontré que des personnes de 68 ans en moyenne, dotées d’une faible masse musculaire et d’une faible force musculaire, avaient trois fois plus de risque d’avoir des troubles cognitifs que d’autres présentant une meilleure masse musculaire (même de faible force musculaire). Ce résultat a été conforté par une méta-analyse démontrant un lien entre sarcopénie et déficience cognitive.

Une interaction qui marche dans les deux sens : travailler son endurance ou sa résistance, pour développer, ou au moins maintenir sa force musculaire, est bénéfique pour nos fonctions cérébrales, soit pour prévenir leur baisse, soit pour les améliorer. Et ce, à tout âge.

Comme la force est en partie dépendante de la masse musculaire et que ces deux éléments diminuent avec le vieillissement, il est important d’identifier les bons comportements à adopter pour prévenir cette baisse. Adapter sa nutrition et s’entraîner régulièrement sont les facteurs les plus efficaces.

Comment maintenir une bonne masse musculaire au fil du temps ?

 

Avoir une alimentation équilibrée, avec un apport un peu plus important en protéine (entre 20 et 35 % de l’apport énergétique total), peut contribuer à atténuer la perte de masse musculaire liée au vieillissement. Quelles protéines privilégier pour sa consommation ? Riches en acides aminés essentiels (comme la leucine), les protéines « whey » (issues des produits laitiers) s’avèrent plus efficaces pour maintenir la synthèse musculaire que celles contenues dans la viande et les végétaux.

En parallèle d’une alimentation adaptée, le renforcement musculaire a également prouvé son intérêt. Des exercices réguliers de résistance ont ainsi plusieurs effets bien documentés tant pour augmenter la masse du muscle et le rapport anabolisme/catabolisme, que la taille des fibres musculaires (hypertrophie) et la force.

Concrètement, réaliser des sessions d’entraînement comptant 10 à 15 répétitions de 10 à 20 exercices physiques, à raison de 2 à 3 sessions non consécutives par semaine, permet déjà d’accroître significativement sa masse musculaire et ce quel que soit l’âge. Il a par exemple été découvert, chez des individus sains de 21 à 80 ans, que 10 semaines d’entraînement en résistance, avec 12 exercices par session au moins 2 fois par semaine, entraînaient une augmentation moyenne de la masse musculaire de 1,4 kg.

Un style de vie actif et une alimentation adaptée comportant des apports protéiques adéquats ne présentent donc que des atouts. En bénéficiant à la bonne santé et à la puissance de notre musculature, elle contribue à notre propre longévité, en pleine possession de nos moyens. Alors, à vos produits laitiers et à vos haltères !

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