Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Duathlons Gourin

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Dimanche, Joël et Laurent étaient inscrits sur le Duathlon Longue distance
comptant pour le championnat de Bretagne Duathlon LD

smiles    8,5 km c/p - 96 km en vélo - 17 km c/p     smiles
107 arrivants (une quarantaine d'abandon)

Joël finit 48 ième scratch en 5 h 24 mn 22

Laurent finit 84 ième scratch en 5 h 51 mn 36

Une idée du parcours vélo ci dessous




Le samedi j'ai participé au Duathlon Nature
5 km de trail - 30 km de vtt - 5 km de trail

75 partants plus que 59 à l'arrivée
je fais partie des 16 qui ont décidé de stopper cette grosse galère !

5 km de trail - 25 mn 22
1er tour de vtt  - 15 km en 1 h 27 mn !
smilies

Une idée du profil 30 km VTT




Bientôt des photos

Publié dans Activités club

Partager cet article
Repost0

Rouler en peloton (1/2)

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon



La régularité
: règle maîtresse

Maintenez constante la distance entre vous et le cycliste qui vous précède.
Si vous laissez celui qui vous précède prendre de l’avance, il vous faudra ensuite accélérer pour le rejoindre. Ceux qui sont derrière vous devront aussi accélérer pour réussir à vous suivre. Évitez le plus possible d’utiliser les freins. En cas d’urgence, il est préférable de briser la file et de se placer à côté de la personne qui nous précède.

Ayez un coup de pédale régulier. N’arrêtez pas inutilement de pédaler.
Cesser de pédaler est pour celui qui vous suit le premier signe d’un éventuel ralentissement. Vous lui imposez ainsi un "garde à vous" inutile qui peut même devenir stressant à haute vitesse. Si vous vous arrêtez souvent de pédaler vous lui enlevez alors un indicateur important.

Maintenez votre vélo sur une ligne droite, la plus régulière possible.
Un bon rouleur se reconnaît à la régularité de sa ligne de roulement. Il est beaucoup plus agréable de suivre un cycliste qui respecte cette règle. Elle n’est évidemment pas facile à respecter avec le nombre astronomique de trous que l’on rencontre. Attention toutefois, sachez qu’il est plus sécuritaire, lorsqu’on roule en peloton, de passer dans les petits trous que de systématiquement essayer de les éviter. Autrement dit, en peloton il faut être moins tatillon sur les trous que lorsqu’on roule seul. Par vent de travers avec bourrasques, il est pratiquement impossible de maintenir une ligne droite. Essayez tout de même de faire de votre mieux.

Restez sur la ligne de roulement du cycliste qui vous précède. Le cycliste qui vous précède vous cache une partie de la chaussée. Vous aurez peut-être le réflexe de zigzaguer de part et d’autre afin de continuellement vérifier l’état de la chaussée qui se présente à vous. Cette façon de faire est épuisante pour vous et stressante pour celui qui vous suit. Vous risquez, en plus, d’avoir une très mauvaise surprise en passant dans un trou qui a été frôlé par celui qui vous précède. Dites-vous que si celui qui vous précède passe, il n’y a pas de raison pour que vous ne passiez pas vous aussi.

La conduite du vélo
Ne regardez pas directement la roue du cycliste qui vous précède. Lorsqu’on dactylographie un texte on ne doit pas regarder le clavier. De la même façon, en vélo, on n’a pas à regarder directement la roue du cycliste qui nous précède. On sait à quelle distance on est de sa roue, mais c’est notre vision périphérique qui nous transmet cette information.

La distance entre votre roue et celle du cycliste qui vous précède doit être d’au moins 10 à 15 centimètres et d’au plus une longueur et demie de roue (± 1 m).
Les deux ou trois centimètres vous donnent tout juste le temps de réagir si une variation de vitesse survient. Se maintenir aussi près de l’autre demande beaucoup de concentration et ne peut être pratiqué que par ceux qui ont de bons réflexes et des années d’expérience. À plus d’un mètre et quart de distance, le phénomène d'aspiration est diminué de beaucoup; à une longueur de vélo, il n’y a pratiquement plus d'aspiration.

Tous les cyclistes d’un groupe doivent indiquer de la main toutes les manœuvres de virage ou d’arrêt. Habituellement, c’est le cycliste en tête qui indique en premier un virage ou un arrêt. Pour éviter toute confusion, il est souhaitable que tous les cyclistes du groupe indiquent également de la main, la manœuvre à venir. Il est en effet rassurant de savoir que tous les cyclistes du groupe savent qu’il va falloir tourner ou s’arrêter.

Il est préférable de se tenir à environ 50 à 75 cm du bord de la route. Si vous roulez trop près de la bordure de la route, vous vous enlevez une marge de manœuvre transversale qui peut, devant un imprévu quelconque, être essentielle. De plus, si vous ne prenez pas assez de place sur la chaussée, les automobilistes auront le réflexe (surtout durant la rencontre de deux autos) de vous tasser sur la bordure. Finalement, avec ce jeu du côté droit de la file, vous pourrez, surtout s’il y a du trafic, faire vos relais à droite.

Ne dépassez pas vos limites. Le peloton roule de plus en plus vite. Au début, cette augmentation graduelle de la vitesse est stimulante. On pousse un peu plus fort sur les pédales. On tient bien la roue de celui qui nous précède. La concentration est maximale. Le cœur bat de plus en plus vite. On sent qu’on pousse ses propres limites. On retire un plaisir qui ne peut pas se décrire facilement (certains prétendent que c’est chimique). Le groupe insiste. Les plus forts vont peut-être même lancer un sprint. Le cœur bat vite, trop vite. Il faut coller au maximum la roue de celui qui nous précède si on veut suivre…

Il y a une limite qu’il ne faut pas dépasser, une limite au-delà de laquelle vous roulez à tombeau ouvert. Sachez reconnaître ce point critique et si vous l’atteignez, n’hésitez pas à décrocher. Votre potentiel de risque est peut-être plus élevé durant ces quelques minutes que durant tout le reste de l’été. Roulez vite en paquet et profiter de l'aspiration demande une grande concentration et il est difficile, voire impossible, de la maintenir lorsqu’on a dépassé ses limites. Tout le monde a des limites, c’est juste qu’elles ne sont pas à la même vitesse pour tout le monde.

En effort, ne vous laissez pas distraire et ne distrayez pas les autres cyclistes. Pour maintenir votre vitesse de pointe lorsque vous roulez seul, vous devez déployer tout ce que vous avez comme force musculaire. En peloton, vous devrez en plus utiliser toute votre concentration. Plus vous roulez vite plus l'aspiration est importante et plus vous devrez vous concentrer sur votre pilotage. Évitez alors tout ce qui peut vous distraire : "regarder" sur son compteur, vérifier la position de la chaîne sur les pignons, discuter avec un autre, chercher de la main sa bouteille d’eau, fouiller dans sa poche pour trouver une barre énergétique, observer la beauté d’un corps de l’autre sexe (ou du sien, c’est selon), etc. 

Les relais
Lorsque vous prenez le relais ce n’est pas à vous d’accélérer, mais c’est à celui qui vous précède de ralentir.
Lorsque vous prenez le relais, c’est-à-dire lorsque celui qui est devant vous se tasse pour vous laisser prendre la tête du peloton, il y a de grosses chances, surtout si vous n’avez pas beaucoup d’expérience, que vous soyez porté à accélérer de quelques km/h. Une file de cyclistes se comportant comme un ressort ou un accordéon, le dernier à la queue aura à produire une accélération plusieurs fois plus grande que la vôtre. Vous risquez alors de produire un largage involontaire. Pour éviter d’avoir ce comportement vous pouvez, lorsque vous êtes en deuxième place dans la file, vérifier sur votre compteur la vitesse à laquelle vous roulez.

Lorsque vous passez le relais :
     * Jetez d’abord un coup d’œil en arrière.
     * Indiquez clairement votre intention de passer le relais à celui qui vous suit.
     * Écartez-vous très doucement de votre ligne de roulement.
     * Déplacez-vous de votre ligne, que d’environ un guidon et demi.
     * Rétrogradez le peloton en frôlant les équipiers.

Avant de faire un relais, il est prudent de jeter un coup d’œil en arrière du côté où vous avez l’intention de vous déplacer. Vous pouvez ensuite dire "relais" à celui qui vous suit (ou l’annoncer d’un geste clair de la main) et finalement ralentir légèrement tout en vous tassant sur le côté.
Il ne faut pas quitter brusquement sa ligne de roulement. Certains utilisent cette façon de faire afin d’indiquer clairement qu’ils laissent la tête du peloton. Vous risquez de surprendre les troisième et quatrième cyclistes de la file qui ne vous avaient pas initialement dans leur champ de vision. En vous voyant vous déplacer de façon brusque, ces cyclistes peuvent avoir l’impression qu’un obstacle majeur se trouve devant eux, ce qui peut provoquer un ralentissement soudain de tout le peloton.

Pendant que vous descendez vers l’arrière du peloton, vous devez rester relativement serré sur lui.

Si vous ne voulez pas faire les relais : si vous trouvez que le groupe roule trop vite pour vous, il est préférable de continuer à faire la rotation et de faire un relais très court (quelques secondes) plutôt que de demeurer en fin de peloton. Évitez de vous rendre jusqu’en deuxième position de la file et de refuser de faire le relais en demandant à celui qui vous suit de le prendre à votre place. Cette façon de faire crée une confusion dans le groupe et brise inévitablement le rythme.

... à suivre ...

 

Publié dans Technique du cycliste

Partager cet article
Repost0

LIENS02

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Cliquez sur les bannières

 

Garez un Arvorig

 

 Trace-GPS.jpg

 

velo101.jpg

R ouverte

 

Troc-velo.jpg

vtt-crozon01

 

Publié dans Divers

Partager cet article
Repost0

Le dernier Bordeaux - Paris

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Impression de José lors de la dernière édition du Bordeaux - Paris, juin 2008

Samedi 21 juin 2008
, réveil 3 h 30 du matin, hôtel Ibis à Artigues

Arrivé à Bégles au départ, petit déjeuner et préparation du vélo, contôle allumage et dossard
Départ 6 h en compagnie de 700 à 800 coureurs




1er contrôle - lieu dit Bois rond, 104 km
Les principales difficultés de la matinée commenceront au 140ième km.
Succession de montées et descentes avec une chaleur étouffante, de rare parties planes.
A 14 h, repas composé principalement de pâtes.

2ième contrôle - à l'isle Jourdain, 14 h 45 au 231 km
La journée se déroule sans problème avec une chaleur orageuse.
A 21 h 35, à Noyer sur Cher contrôle et repas afin de se changer et se préparer à rouler la nuit qui commence à se manifester.

Sécurité maximum, chasuble, feux arrière et avant priorité.
Du km 384 à Noyer sur Cher au km 418 à Romorantin contrôle suivant le parcours se fera en 1 h de temps en compagnie d'une vingtaine de coureurs de la région de Rennes.
Il est vrai que nous étions assistés d'une voiture devant et une derrière pour la sécurité.
La nuit se déroule sans difficultés excepté un arrêt d'un quart d'heure, le sommeil commençait à se manifester.
Arrivé au petit matin à 6 h 45 au km 558 Autruy sur Juine, un petit déjeuner que l'on obtiendra avec difficultés.
Trop de coureurs, pas assez de serveurs.
Départ tardif pour le dernier tronçon, au bout de quelques kilomètres la pluie nous souhaite la bienvenue pendant un bout de temps.
Pas question s'arrêter tant pis pour la douche.
Heureusement 40 km avant l'arrivée, le soleil à son tour nous rend visite de même que la chaleur.


Arrivée en compagnie d'une quinzaine de concurrents qui m'auront permis de terminer sans trop de difficultés. Surtout que dans les 30 derniers kilomètres, beaucoup de montées difficiles.

Il est vrai qu'un coureur de la région qui s'entrainait nous a accompagné en même temps et nous prévenait des difficultés que nous allions trouver ce qui nous a permis de réguler nos efforts.

Fin du parcours à 10 h 02 à Aubervilliers.
Arrivé 148ième en 28 h pour 610 km, fatigué, mal partout ...
Mais heureux d'en avoir terminer !

smilies

Publié dans A l'honneur

Partager cet article
Repost0

Il n'est jamais trop tard pour se mettre au sport !!

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Suède - Une étude menée par le Dr Michaëlsson de l'université d'Uppsala révèle que commencer à faire de l'exercice même tardivement peut prolonger l'espérance de vie.

smileys
Les hommes très actifs à 50 ans gagnent deux à trois années de vie supplémentaires par rapport aux hommes peu ou pas actifs au même âge et une année par rapport aux hommes moyennement actifs. Le fait de démarrer l'exercice physique à 50 ans seulement ne semble pas modifier ce gain puisque, au bout de dix ans, les hommes devenus actifs tardivement arrivent à la même espérance de vie que les hommes actifs avant l'âge de 50 ans. Pratiquer une activité physique aurait alors un impact sur l'espérance de vie similaire à celui de l'arrêt du tabac.L'étude a duré trente-cinq ans et a permis de suivre 2 205 hommes âgés de 50 ans en 1970. A cette époque, les participants ont rempli un questionnaire sur leurs activités physiques et loisirs afin de les classer dans des catégories de régularité. Des examens ont été à nouveau pratiqués à l'âge de 60, 70, 77 et 82 ans afin de mesurer les changements de pratique physique. Ces informations ont été corrélées avec d'autres informations, comme le poids, la pression sanguine, le taux de cholestérol, le fait de fumer et la consommation d'alcool.Pour être désigné comme "très actif", un homme doit pratiquer au moins trois heures de sport ou de loisirs actifs (jardinage...) par semaine : c'était le cas de près de la moitié des hommes de l'étude, à 50 ans. Les hommes actifs, pratiquant par exemple la marche ou le cyclisme, comptaient pour plus d'un tiers des hommes étudiés. 15 % n'étaient pas du tout actifs.La cinquantaine est considérée comme un "âge charnière" pour la santé des hommes. De nouvelles recherches doivent désormais montrer si l'activité physique après 50 ans est aussi bénéfique aux femmes.
smilies

Publié dans Conseil forme

Partager cet article
Repost0

Le Folgoët

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Dimanche, 1er rendez vous pour Michel et Philippe
sur la ligne de départ d'une course cycliste fsgt au Folgoët
 


circuit agréable malgré le vent
Philippe a fait plusieurs échappées sans succès

Arrivée dans le peloton pour Philippe (75 au départ) catégorie V2-3-4
Arrivée entre la 10 et 15 ième place (une trentaine au départ) pour Michel catégorie V5

Photos et récit par Nelly, envoyée spéciale pour le blog du vspc

Publié dans Activités club

Partager cet article
Repost0

Serrage de roues

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon


Publié dans Mécanique

Partager cet article
Repost0

L'oeuvre de Philippe Brochec

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

Vélo tout en bois ...


... et qui roule !!

Publié dans A l'honneur

Partager cet article
Repost0

E (partie 2)

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

smiley

smilies ENVOYER LA MAIN - lors d'un sprint, écarter un adversaire de la main, ou attraper le maillot pour se propulser à l'avant. Cette pratique est sévèrement punie, entraînant le déclassement à l'arrivée, si le fautif est surpris par un commissaire.

smilies ETRE A LA RAMASSE - être très en retard par rapport à la tête de la course, sans aucune chance de rejoindre celle-ci.

smilies ETRE A PIED -  ne pas être en mesure de suivre le rythme de la course, même si celui-ci est peu élevé. Se trouver sans force et rouler très lentement, à l'allure d'un homme à pied.

smilies ETRE ASPIRE - dans deux cas, un coureur peut être aspiré: a) le coureur est échappé, mais le peloton fond sur lui et l'aspire ; b) le coureur est attardé et se laisse aspirer par les motos et les voitures ; dans ce dernier cas, il peut être sanctionné.

smilies ETRE COLLE AU GOUDRON -  ne plus avancer, être sans force, et ne pas tenir le rythme imposé par la course.

smilies ETRE CUIT - avoir jeté toutes ses forces dans une action déterminée, et ne pas pouvoir continuer. Lorsqu'il est cuit, le coureur dégouline de sueur et n'avance plus.

smilies ETRE DANS L'ALLURE - suivre sans difficulté la vitesse du peloton, participer à toutes les actions sans le moindre effort. Cette façon d'être dénote une excellente forme.

smiliesETRE DANS LA BONNE - faire partie de la bonne échappée, celle qui a toutes les chances de parvenir à l'arrivée sans être inquiétée par le peloton des poursuivants.

smilies ETRE DANS LA BORDURE - le coureur qui n'a pas pris le soin d'être bien placé au moment de la formation de l'éventail, risque de ne pouvoir s'y incorporer. Il se retrouve ipso-facto dans l'obligation de rouler sur la bordure et n'a d'autre solution que de laisser partir le groupe auquel il voulait se joindre.

smilies ETRE DANS LA BOTTE -  s'être laissé enfermer par ses adversaires lors d'un sprint, sans avoir la possibilité d'échapper à leur emprise.

smilies ETRE DANS LA GALERE - se trouver dans un groupe de coureurs par pur hasard, et être obliger de rouler, sans trop savoir comment évoluera la situation de la course.

smilies ETRE DANS LA MAFIA - faire partie d'un groupe de coureurs d'équipes différentes mais dont l'intérêt commun, est de ne laisser aucune prime ni la victoire à un autre. L'ensemble des coureurs concernés se partagera les gains ainsi réalisés. Cette pratique a lieu la plupart du temps lors des critériums.

smilies ETRE DANS LA PAMPA - être très attardé et livré à sois-même sans assistance. En règle générale, le coureur, dans une telle situation, ne tarde pas à abandonner.

smilies ETRE DANS LA ROUE - marquer un adversaire désigné, en se mettant derrière lui, sans jamais prendre de relais. Il s'agit souvent d'une consigne donnée par le directeur sportif, en fonction des intérêts à défendre pour son équipe.

smilies ETRE DANS LE PAQUET - se trouver dans le peloton le plus important de la course.

smilies ETRE DANS LE RONDIN - se trouver derrière un concurrent qui pédale rapidement, et se placer de la même façon que derrière une moto munie d'un rouleau, la roue avant prête à toucher la roue arrière dudit concurrent, et n'en plus bouger.

smilies ETRE DANS LE ROUGE -  être incapable de continuer un train soutenu, et perdre le bénéfice d'efforts trop violents ; on peut voir souvent un coureur qui limite une action solitaire, pour éviter d'être dans le rouge, son coeur donnant des signes de fatigue.

smilies ETRE DANS LE VENT - ne pas avoir trouvé l'abri nécessaire, soit dans le peloton, soit derrière un entraîneur, et être dans l'obligation de fournir plus d'efforts que les autres.

smilies ETRE DANS LES ROUES - s'installer dans le milieu du peloton, et rester dans les roues, avec l'intention déterminée de ne participer à aucune action.

smilies ETRE EJECTE DU PELOTON - lors de l'accélération du peloton, être dans l'impossibilité de suivre et se trouver immédiatement distancé.

Publié dans Activités club

Partager cet article
Repost0

Liens

Publié le par Velo Presqu'île de Crozon

 

Publié dans Activités club

Partager cet article
Repost0

1 2 > >>